LE CANOT MAGIQUE

Laurie Tremblay, 10 ans


   En 1809, dans le grand Nord, dans la tribu des Kogos vivait un Inuit nommé Kolomaquie. Il était très pauvre. Il adorait les étoiles. Un soir, lorsque Kolomaquie regardait les étoiles, un homme très chic vint le rejoindre. C’était Jean, " un homme d’affaires" ! Il dit à Kolomaquie « Bonjour, je m’appelle Jean, je suis un homme d’affaires. Je sais que tu es très bon à la pêche et…» « Oui, je suis bon à la pêche, mais pourquoi me dis-tu ça ?» «C’est parce que je ne suis pas capable de pêcher et je voudrais que tu me donnes des poissons et en retour je te ferai visiter un endroit où il y a plein d’étoiles, mais pas des étoiles ordinaires : des étoiles filantes.» «C’est d’accord » dit Kolomaquie. «Je vais chercher mes poissons. » «Nous partons demain le 24 décembre» ajouta Jean.


   Le lendemain, Kolomaquie attend Jean devant la maison. Quelques instants plus tard, Jean arrive et dit « Vite, vite, partons le canot nous attend !» En chemin, ils rencontrèrent un homme très pauvre. Il avait l’air d’avoir faim alors Kolomaquie lui donna un de ses poissons qu’il avait apportés pour le voyage. De toute façon, il en avait beaucoup d’autres. Un peu plus loin sur l’eau, ils virent une famille de canards. Kolomaquie leur donna un petit peu de pain. Après 3 heures de canot, Kolomaquie et Jean arrivèrent sur l’île. Elle était petite, mais quand même très belle. Il y avait deux hamacs accrochés sur des palmiers et un endroit pour faire un feu. Ils défirent leurs bagages. Vers l’heure du souper, Jean et Kolomaquie s’installèrent près du feu. Ils se firent du poisson grillé. Après le souper, ils s’installèrent pour la pluie d’étoiles filantes. Elle commença vers 20h30. . C’était magnifique, époustouflant, épatant, sensationnel. Lorsque Kolomaquie alla chercher une couverture dans le canot, il ne le trouva pas. Il regarda en l’air et il vit le canot. Il dit à Jean « Vite Jean, il faut embarquer dans le canot, il va partir sans nous !» « Pourquoi dis-tu ça ?» demanda Jean. «Parce qu’il vole et il nous attend, alors monte vite !» Ils montèrent dans le canot. «En route pour la maison !» dit Kolomaquie. Trois heures plus tard, ils étaient chacun chez soi avec leur famille pour Noël.

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